Qui donc relèvera la fortune de France ?
Cette interrogation angoissée du chancelier Michel de l'Hospital, "dans le moyeu de nos guerres" de religion, est encore aujourd'hui d'actualité.
Cet espoir d'un homme dit providentiel, ou de plusieurs, semblera puérile aux esprits forts. Mais quoi ? L'histoire n'était-elle pas faite d'hommes, providentiels ou non ? Sans hommes pour les servir, les structures ne sont que des objets de débat pour désoeuvrés du microcosme pédant.
Et je tiens, allez savoir pourquoi, que "le chef est toujours seul face au mauvais destin".
dimanche, mars 18, 2007
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