vendredi, mars 14, 2008

Pourquoi il ne faut pas avoir peur du libéralisme


Pourquoi il ne faut pas avoir peur du libéralisme
Publié par à

7 commentaires:

  1. daredevil2007mars 14, 2008

    Merci pour ce texte fort instructif. J'ai beaucoup aimé la phrase de Hayek : même si elle peut paraître dure, je la trouve - malheureusement - fort juste!

    RépondreSupprimer
  2. Josickmars 15, 2008

    Réussir en économie en lisant un seul livre ? Que vas dire notre commentateur anonyme ! C'est vrai qu'on lui a coupé le sifflet.

    RépondreSupprimer
  3. fboizardmars 16, 2008

    Il vaut mieux lire un bon livre que cent mauvais.

    Mais c'est comme pour les restaurants, pour trouver un bon, il faut en essayer cent mauvais.

    Si il n'y avait qu'un seul livre à lire, je vous conseillerai les Essais, de Montaigne (la dernière éditions de La Pléïade est pratique. Pour ceux à qui Montaigne fait peur, l'édition Arléa est très bien).

    Vous me direz que ce n'est pas de l'économie et que Montaigne s'est trompé en économie (Un chapitre s'intitule Le profit de l'un est dommage de l'autre). Mais sa manière d'envisager les choses diverses et ondoyantes à sauts et à gambades n'est pas une si mauvaise introduction.

    RépondreSupprimer
  4. isamars 16, 2008

    C'est un texte très séduisant. Ca parait tellement simple qu'on se demande comment on a pas compris avant.
    J'aimerais bien avoir des nouvelles plus actuelles des pays cités (Chili, Nouvelle Zélande, Estonie).

    RépondreSupprimer
  5. Josickmars 16, 2008

    Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  6. Josickmars 16, 2008

    @isa

    C'est exactement ce que j'ai voulu savoir à la lecture de Charles Gave "Des lions menés par des ânes".
    Est-ce ces écrits sont encore d'actualité !
    Et quand à l'actualisation, je pense l'approche de Jean-Pierre Chevallier y contribu.

    @Frank Peux-tu me contacter via l'email de mon profil enfer2... chez free...

    RépondreSupprimer
  7. Josickmars 17, 2008

    C'est vrai que tomber du premier coup sur un "bon" livre, il faut avoir la main heureuse. Je suppose que Mart Laar avait pas mal limé en tant qu'historien, et changeant de domaine, il tombe sur le livre qu'il lui fallait lire. Sa main heureuse serait à mon sens le travail d'un tatonnement antérieur.

    RépondreSupprimer

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)