Les aéroports de Toulouse, Lyon et Bordeaux sont gérés par des sociétés anonymes depuis 2007.
Celles-ci sont très étonnées que l'Etat français, actionnaire à 60 %, exige un fort dividende.
Pourquoi ? Parce que l'Etat en question n'a plus investi depuis des années dans les infrastructures de ces plateformes.
Autrement dit, l'Etat français se comporte comme une caricature de fonds d'investissement court-termiste. Mais, quand c'est l'Etat, c'est bien, n'est-ce pas ?
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Quid novi ? Cela fait des lustres que les aéroports régionaux, privés ou publics, sont déficitaires et renfloués à grands coups de fonds publics -comme le reste d'ailleurs- : qu'y a-t-il de scandaleux que l'Etat récupère quelques miettes de l'argent des contribuables donné aux copains et aux coquins (65 milliards d'euros par an, mazette !)?
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