Ou comment on peut etre elu sans programme, sans experience, sans competences, mais avec du talent, du culot, le soutien des medias et beaucoup d'argent.
L'obamania : le saut dans l'inconnu (sans elastique) comme derniere mode.
C'est beau, la democratie !
Pour nous tous, je lui souhaite cependant de reussir.
mercredi, novembre 05, 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Vision positive : C'est une illustration des différences de la culture du risque entre nos deux pays......
RépondreSupprimerVision négative : "le gagnant des médias rafle tout".
Laissons lui (pour le moment) la présomption d'efficacité...
RépondreSupprimerA l'heure ou l'indice de confiance des ménages est devenu un indicateur économique je fais le pari que du sentiment commun de changement (pour les américain) peut sortir quelque chose de positif.
Comment dit on état de grâce en anglais ?
Et entre les USA et la France je sais encore où est le plus malade.
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. Hormis des exceptions qui se comptent sur les doigts d'une seule main, il n'y a rien à attendre de bon des hommes de l'Etat. Ce n'est pas Lord Acton qui me contredira.
RépondreSupprimerEn revanche (c'est HS mais je ne peux m'en empêcher), il y a une chose délicieuse en anglais américain que j'ai découverte : laissez-faire se dit tout simplement "laissez-faire" (avec l'accent).
@theo
RépondreSupprimerbonne reparque sur "laissez-faire"
Et Tocqueville et Bastiat sont bien plus célèbre aux USA qu'ici....
J'avais lu que Tocqueville était le philosophe (au sens large) étranger le plus historiquement cité aux USA.
Bon soyons honnète, il n'a pas écrit "de la démocratie au Mexique...."
Mais bon, assez révélateur