L'hystérie bien-pensante à propos de la sécurité publique a atteint un paroxysme de ridicule : il devient "fachissse" de déclarer que la place des criminels est en prison.
Je demande si, à l'exemple du réchauffisme, cette véhémence braillarde n'est pas un signe de panique. En effet, de nombreux signes attestent que les tabous érigés par la culture de l'excuse pour priver les Français de parole sautent. L'affaire Zemmour semble vieille de cent ans.
Optimisme excessif ?
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A propos des criminels en prison, écoutez ceci :
RépondreSupprimerhttp://www.fdesouche.com/130706-insecurite-et-impuinte-melenchon-vs-dany/
Pendant toute l'intervention vous remarquerez que Mélenchon ne parle que de l'agresseur pas de la victime. Ce qui l'intéresse c'est le sort de l'agresseur, la victime il s'en fout complètement, elle doit subir et fermer sa gueule, d'ailleurs il se permet même de lui faire la morale.
Sans le vouloir Mélenchon confirme ce dont se plaint l'auditrice, à savoir qu'aujourd'hui le sort des agresseurs prime devant celui des victimes.
Un pied-de-biche pour faire sauter les tabous :
RépondreSupprimerhttp://www.justice-securite.fr
En version cliquable, pardon : Justice & Sécurité.
RépondreSupprimerIl faut relire Soljyenistine. Il nous a donné les clefs d'interprétation de notre temps : avec, en particulier, le concept de "socialement proche".
RépondreSupprimer"Socialement proche est le terme officiel employé dans les régimes socialistes pour désigner les prisonniers de droit commun: voleurs, escrocs, vandales, bandits, violeurs, assassins, racketeurs et autres mafieux.
Le terme s'oppose à ennemi du peuple, qui qualifie toute personne s'opposant au régime par ses actes, ses pensées, ses valeurs: contre-révolutionnaires, dissidents, commerçants honnêtes, trafiquants non violents sur le marché noir.
Pour les socialistes, les "droit commun" sont "socialement proches", parce qu'ils sont des "victimes" des méfaits du capitalisme et des vices bourgeois, et parce qu'ils partagent les mêmes valeurs de "redistribution" forcée au détriment des producteurs et au bénéfice des "défavorisés". Les socialement proches sont des affranchis, tout comme les membres légitimes du régime. Ils sont proches du régime, mais n'en font pas partie: ce ne sont pas des spoliateurs légaux, d'où leur emprisonnement. Ils ne jouent pas dans la cour des grands.
Les socialement proches ont vocation à avoir de faibles peines, à être bien traités, et à s'occuper de pourrir la vie aux caves -- que ce soit en camp ou parmi la masse des citoyens en liberté surveillée. Ainsi, l'attention des caves est distraite, et la protection offerte par les [noble]s leur paraît bien agréable, "nécessaire" et désirable en comparaison. Il est tellement amusant pour les nobles de regarder les koulaks et autres moujiks se débattre sous les coups des socialement proches!
Lire notamment l'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljénitsine pour une discussion du rôle des socialement proches dans les camps. A rapprocher de la sollicitude dont bénéficient tous les pires crapules criminelles aux yeux des "intellectuels" gauchistes, les mêmes qui conspuent tout entrepreneur honnête jusqu'à souhaiter leur extermination (ouvertement ou non selon des considérations stratégiques). Ainsi, même si le terme socialement proche n'est pas dans la phraséologie officielle des social-démocraties, le concept y est tout aussi présent que dans les régimes socialistes".
(Liberpédia)
Jérome
Il faut relire Soljyenistine. Il nous a donné les clefs d'interprétation de notre temps : avec, en particulier, le concept de "socialement proche".
RépondreSupprimer"Socialement proche est le terme officiel employé dans les régimes socialistes pour désigner les prisonniers de droit commun: voleurs, escrocs, vandales, bandits, violeurs, assassins, racketeurs et autres mafieux.
Le terme s'oppose à ennemi du peuple, qui qualifie toute personne s'opposant au régime par ses actes, ses pensées, ses valeurs: contre-révolutionnaires, dissidents, commerçants honnêtes, trafiquants non violents sur le marché noir.
Pour les socialistes, les "droit commun" sont "socialement proches", parce qu'ils sont des "victimes" des méfaits du capitalisme et des vices bourgeois, et parce qu'ils partagent les mêmes valeurs de "redistribution" forcée au détriment des producteurs et au bénéfice des "défavorisés". Les socialement proches sont des affranchis, tout comme les membres légitimes du régime. Ils sont proches du régime, mais n'en font pas partie: ce ne sont pas des spoliateurs légaux, d'où leur emprisonnement. Ils ne jouent pas dans la cour des grands.
Les socialement proches ont vocation à avoir de faibles peines, à être bien traités, et à s'occuper de pourrir la vie aux caves -- que ce soit en camp ou parmi la masse des citoyens en liberté surveillée. Ainsi, l'attention des caves est distraite, et la protection offerte par les [noble]s leur paraît bien agréable, "nécessaire" et désirable en comparaison. Il est tellement amusant pour les nobles de regarder les koulaks et autres moujiks se débattre sous les coups des socialement proches!
Lire notamment l'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljénitsine pour une discussion du rôle des socialement proches dans les camps. A rapprocher de la sollicitude dont bénéficient tous les pires crapules criminelles aux yeux des "intellectuels" gauchistes, les mêmes qui conspuent tout entrepreneur honnête jusqu'à souhaiter leur extermination (ouvertement ou non selon des considérations stratégiques). Ainsi, même si le terme socialement proche n'est pas dans la phraséologie officielle des social-démocraties, le concept y est tout aussi présent que dans les régimes socialistes".
(Liberpédia)
Jérome
Il faut relire Soljyenistine. Il nous a donné les clefs d'interprétation de notre temps : avec, en particulier, le concept de "socialement proche".
RépondreSupprimer"Socialement proche est le terme officiel employé dans les régimes socialistes pour désigner les prisonniers de droit commun: voleurs, escrocs, vandales, bandits, violeurs, assassins, racketeurs et autres mafieux.
Le terme s'oppose à ennemi du peuple, qui qualifie toute personne s'opposant au régime par ses actes, ses pensées, ses valeurs: contre-révolutionnaires, dissidents, commerçants honnêtes, trafiquants non violents sur le marché noir.
Pour les socialistes, les "droit commun" sont "socialement proches", parce qu'ils sont des "victimes" des méfaits du capitalisme et des vices bourgeois, et parce qu'ils partagent les mêmes valeurs de "redistribution" forcée au détriment des producteurs et au bénéfice des "défavorisés". Les socialement proches sont des affranchis, tout comme les membres légitimes du régime. Ils sont proches du régime, mais n'en font pas partie: ce ne sont pas des spoliateurs légaux, d'où leur emprisonnement. Ils ne jouent pas dans la cour des grands".
(Liberpédia)
Jérome
Ah mes excuses pour les doublons...
RépondreSupprimerJérome
Non, optimisme raisonnable. On dirait que ça bouge un peu. Je rêve?
RépondreSupprimerLe commentaire de Jérôme est très intéressant!
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