A ma droite, la France de toujours ; à ma gauche, l'aFrance d'après. Comparons.
La France de toujours a une histoire millénaire, ses réalisations artistiques et culturelles sont encore les plus visitées du monde, ses paysages font l'envie des touristes, elle a été le berceau de l'automobile, de l'aviation et de la TSF.
L'aFrance d'après, c'est les jacklangueries, les émeutes raciales, des quartiers qui ressemblent à Beyrouth, la tiers-mondisation économique et sociale, la glissade obscurantiste.
Les gauchistes ont raison : la France moisie existe, c'est scandaleux et elle doit disparaitre. Mais, la France moisie, c'est leur France.
mardi, août 17, 2010
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Savez-vous comment on dit Bisounours en anglais?
RépondreSupprimerAubry peine à donner du contenu à son «care»
Ca officialise bien des choses.
Negligeons par pure charité les libéraux demontrant depuis toujours que les États-providences ne sont pas viables.
RépondreSupprimerIl n'en demeure pas moins que les écrits établissant l'incompatibilité entre la mondialisation et l'assistanat généralisé se répandent dans les années 90. Il n'y a que les socialistes à ne rien avoir vu.
Ha ! Je proteste, et avec moi, le sauternes, le roquefort, la fourme d'Ambert et Fromage Plus ! La France moisie, c'est la pourriture noble, môssieur ! Rien à voir avec Jacques Langue !
RépondreSupprimerAubry souhaite une "société «postmatérialiste»"
RépondreSupprimerMais qui dépense sans compter le pognon des forces vives du pays ? Qui trouve que les plans de relance par la consommation sont insuffisants ? Qui trouve qu'on en fait pas assez pour les racailles ?
Les matérialistes sont bien les gauchistes, qui jugent tout en fonction de l'argent, qui est chez eux une obsession pathologique.