mardi, août 17, 2010

Frances : 60 millions de consommateurs

A ma droite, la France de toujours ; à ma gauche, l'aFrance d'après. Comparons.

La France de toujours a une histoire millénaire, ses réalisations artistiques et culturelles sont encore les plus visitées du monde, ses paysages font l'envie des touristes, elle a été le berceau de l'automobile, de l'aviation et de la TSF.

L'aFrance d'après, c'est les jacklangueries, les émeutes raciales, des quartiers qui ressemblent à Beyrouth, la tiers-mondisation économique et sociale, la glissade obscurantiste.

Les gauchistes ont raison : la France moisie existe, c'est scandaleux et elle doit disparaitre. Mais, la France moisie, c'est leur France.

4 commentaires:

  1. Savez-vous comment on dit Bisounours en anglais?

    Aubry peine à donner du contenu à son «care»

    Ca officialise bien des choses.

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  2. Negligeons par pure charité les libéraux demontrant depuis toujours que les États-providences ne sont pas viables.

    Il n'en demeure pas moins que les écrits établissant l'incompatibilité entre la mondialisation et l'assistanat généralisé se répandent dans les années 90. Il n'y a que les socialistes à ne rien avoir vu.

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  3. Ha ! Je proteste, et avec moi, le sauternes, le roquefort, la fourme d'Ambert et Fromage Plus ! La France moisie, c'est la pourriture noble, môssieur ! Rien à voir avec Jacques Langue !

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  4. Aubry souhaite une "société «postmatérialiste»"

    Mais qui dépense sans compter le pognon des forces vives du pays ? Qui trouve que les plans de relance par la consommation sont insuffisants ? Qui trouve qu'on en fait pas assez pour les racailles ?

    Les matérialistes sont bien les gauchistes, qui jugent tout en fonction de l'argent, qui est chez eux une obsession pathologique.

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