A propos de l'"intégration", dont parle Nicolas Domenach, j'ai été intéressé par l'analyse d'"Aldo Sterone" dans une de ses vidéos, où il explique qu'une partie des immigrés n'a absolument aucune volonté d'intégration, et souhaite rester dans une bulle incluse dans la France, mais en fait culturellement hors de la France. Aldo Sterone rappelle qu'on peut par exemple vivre en France pendant des années sans pratiquement parler le français.
On ne peut intégrer que ceux qui désirent s'intégrer. Si quelqu'un ne souhaite pas s'intégrer, il n'y a pas lieu qu'il demande la nationalité française. Un résident étranger sur le sol français peut parfaitement refuser de s'intégrer, ça n'a vraiment rien de répréhensible, mais il doit évidemment respecter les lois du pays. Si je suis partisan de la polygamie, par exemple, parce que c'est normal dans ma culture, j'ai parfaitement le droit de désirer avoir quatre femmes. Mais je dois ronger mon frein tant que je suis en France.
A propos de la déclaration de Martine Aubry sur la sécurité, peu crédible pour le moment en tout cas. On verra plus tard. Sur le blog Justice au singulier, Bilger a un article "L'insécurité existe : la gauche l'a rencontrée" (18 novembre), et il y a pas mal de commentaires. J'ai laissé celui-ci : "Dans sa tribune du Monde du 16 novembre 2010, Madame Aubry annonce : "Aucune violence n'est acceptable en République. Aucune." Bien. Mais, exemple. Lorsque des chaises sont amoncelées devant des entrées de locaux universitaires afin d'en empêcher l'accès, on fait profil bas. Depuis quarante ans l'habitude s'est prise de "respecter le droit de grève" des étudiants (apparemment salariés de l'université, puisqu'ils y disposeraient d'un "droit de grève"), comme l'a écrit il y a peu d'années sur le site web d'un Institut d'études politiques de province sa directrice, agrégée de droit public. Mais bon, contrairement à elle, je ne suis pas juriste."
Une fois de plus, sur cette question, Zemmour a une analyse juste qui tranche avec la sociologie de bazar, pour reprendre votre expression, du sieur Domenach qui ne parvient jamais à s'extraire de la gangue de la bien-pensance à deux francs six sous... Comment peut-on être aussi aveugle, c'est la question que je me pose depuis des lustres...
A propos de l'"intégration", dont parle Nicolas Domenach, j'ai été intéressé par l'analyse d'"Aldo Sterone" dans une de ses vidéos, où il explique qu'une partie des immigrés n'a absolument aucune volonté d'intégration, et souhaite rester dans une bulle incluse dans la France, mais en fait culturellement hors de la France. Aldo Sterone rappelle qu'on peut par exemple vivre en France pendant des années sans pratiquement parler le français.
RépondreSupprimerOn ne peut intégrer que ceux qui désirent s'intégrer. Si quelqu'un ne souhaite pas s'intégrer, il n'y a pas lieu qu'il demande la nationalité française. Un résident étranger sur le sol français peut parfaitement refuser de s'intégrer, ça n'a vraiment rien de répréhensible, mais il doit évidemment respecter les lois du pays. Si je suis partisan de la polygamie, par exemple, parce que c'est normal dans ma culture, j'ai parfaitement le droit de désirer avoir quatre femmes. Mais je dois ronger mon frein tant que je suis en France.
A propos de la déclaration de Martine Aubry sur la sécurité, peu crédible pour le moment en tout cas. On verra plus tard. Sur le blog Justice au singulier, Bilger a un article "L'insécurité existe : la gauche l'a rencontrée" (18 novembre), et il y a pas mal de commentaires. J'ai laissé celui-ci : "Dans sa tribune du Monde du 16 novembre 2010, Madame Aubry annonce : "Aucune violence n'est acceptable en République. Aucune." Bien. Mais, exemple. Lorsque des chaises sont amoncelées devant des entrées de locaux universitaires afin d'en empêcher l'accès, on fait profil bas. Depuis quarante ans l'habitude s'est prise de "respecter le droit de grève" des étudiants (apparemment salariés de l'université, puisqu'ils y disposeraient d'un "droit de grève"), comme l'a écrit il y a peu d'années sur le site web d'un Institut d'études politiques de province sa directrice, agrégée de droit public. Mais bon, contrairement à elle, je ne suis pas juriste."
RépondreSupprimerUne fois de plus, sur cette question, Zemmour a une analyse juste qui tranche avec la sociologie de bazar, pour reprendre votre expression, du sieur Domenach qui ne parvient jamais à s'extraire de la gangue de la bien-pensance à deux francs six sous...
RépondreSupprimerComment peut-on être aussi aveugle, c'est la question que je me pose depuis des lustres...