Dans le cas du drame de Liège, le tueur est présenté comme un spécialiste des armes.
Dans le cas du drame d'Osmo, le tueur est présenté comme un obsédé politique, d'extrême-droite, évidemment.
Or, dans les deux cas il s'agit d'un détraqué politique et d'un collectionneur d'armes. Mais, suivant ce qui arrange l'orientation politique des journalistes, on insiste plus sur un aspect que sur l'autre.
Cette partialité journalistique n'est une surprise pour personne, mais il m'amusait de faire cette juxtaposition qui se passe de commentaires.
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