jeudi, avril 26, 2012
Bayrou bignole
Je n'ai jamais aimé François Bayrou. Mon instinct ne m'a pas trompé.
Ce roseau peint en fer, ce mouton qui rugit, est bien un centriste : il fait passer les petits arrangements, les ambitions minables et les rancoeurs personnelles devant l'intérêt de la France.
Il est encore plus critiquable que Marine Le Pen. Il n'est même pas un rebelle, c'est un valet : il se couche le futur pouvoir (qu'il imagine).
Je n'espère rien d'une victoire de Nicolas Sarkozy sauf, décidément, l'intense staisfaction de voir tout un tas de salopards pris à rebrousse-poil et trompés dans leurs calculs mesquins.
Libellés :
2012 année chiatique,
François le roseau à grosse tête
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