Politiquement correct jusqu'au bout des ongles, le journal La Croix préfère défendre les rebelles islamistes syriens que les chrétiens.
Voilà ce qui arrive quand on a perdu ses repères : un masochisme de mauvais aloi. Pour un catholique, le bon repère, c'est la théologie.
Autant l'entreprise soviétique de destruction des Eglises a échoué à l'est, autant elle a remarquablement réussi à l'ouest. Il est vrai que le terrain, préparé par notre glorieuse révolution, y était nettement plus favorable.
Les évêques français (à quelques exceptions) sont aujourd'hui d'un rouge naïf qu'on n'ose plus arborer dans les partis politiques. Je suis également frappé (mais cela va avec), chaque fois que j'en entends un, par la médiocrité des propos.
On a du mal à imaginer qu'il y eut naguère des évêques qui furent des autorités intellectuelles. Le poisson pourrit par la tête.
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