Jérome Cahuzac :
«J'ai été pris dans une spirale du mensonge et m'y suis fourvoyé. Je suis dévasté par le remords. Penser que je pourrais éviter d'affronter un passé que je voulais considérer comme révolu était une faute inqualifiable. J'affronterai désormais cette réalité en toute transparence.»
Il se paye vraiment notre tête : si son mensonge était passé, il n'aurait pas été «dévasté par le remords» de rester ministre.
Il ferait mieux de la fermer. Souvent, le silence est un signe de décence. Mais, évidemment, socialiste et décence ...
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