La politique économique de François Hollande est très claire : «l'austérité pour les autres».
On emmerde et on pressure le monde entier, sauf ses copains et ses clientèles électorales, c'est-à-dire les abrités. C'est l'austérité pour les autres, c'est-à-dire les exposés.
Favoriser les abrités et pressurer les exposés : la machine à perpétrer des injustices turbine à fond.
Charles Wyplosz propose une véritable autre politique.
Le mécanisme depuis trente ans est le suivant :
En période de vaches maigres, on augmente les dépenses publiques et on creuse les déficits.
En période de vaches grasses, on augmente les impots pour rattaper un peu les déficits.
Résultat : par effet cliquet, à chaque crise, l'économie communiste étouffe un peu plus l'économie libre. Les vaches maigres sont de plus en plus maigres et durent de plus en plus longtemps. Les vaches grasses sont de moins en moins grasses et meurent vite.
Nulle fatalité, nul coup funeste du sort : c'est la conséquence logique, prévisible (et prévue par les libéraux) de la politique suivie depuis trente ans. La France n'est pas victime de malheurs extérieurs mais de ses très mauvais choix.
Wyplosz propose d'inverser :
En période de vaches maigres, on baisse les impôts.
En période de vaches grasses, on baisse les dépenses publiques.
A court terme, les deux politiques creusent les déficits. Mais, à long terme, la politique Wyplosz soulage l'économie libre du joug de l'économie communiste. La prospérité revient. La dette est remboursée.
Bien sûr, cette politique n'a aucune chance pour des raisons de clientélisme. Les abrités sont bien trop nombreux et puissants.
Nous boirons le calice jusqu'à la lie.
Hors sujet : private joke. Il va sortir sur le pape un film intitulé Call me Francisco, c'est mieux que Call me Jambon mais ça va quand même nous faire rire cinq minutes.
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