Collaboration, une passion française
Cet article est exagéré, comme tous les pamphlets, mais le fond est juste. Comme la France se prend pour une idée plus qu'une réalité, il y a toujours eu en France un parti de l'étranger. Le duc de Guise assassiné avec de l'or espagnol dans ses poches, ce n'est pas d'aujourd'hui.
Ce que ne dit pas l'article, c'est que, jusqu'à maintenant, le parti de la France a toujours fini par gagner, quelquefois de justesse.
Mais, depuis les salopards Schuman et Monnet (j'ai honte que des écoles portent leur nom - il est curieux que, en nos temps de résistants avec 70 ans de retard, la carrière vichyste de Schuman passe comme une lettre à la poste), le parti de l'étranger n'a jamais été si fort car, éclair de génie, il est sans visage. Personne ne connaît les technocrates immigrationistes de Bruxelles, ils sont une abstraction, on ne peut pas les haïr comme on le devrait.
Comme d'habitude en ces circonstances, les Français d'en bas ne peuvent compter que sur eux-mêmes, la France d'en haut a déjà trahi depuis longtemps.
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