Ce que le Nobel Imre Kertész disait de l'islam
Par Ivan Rioufol le 4 avril 2016 12h25
Lucidité ou sénilité ? Dans le chaleureux portrait que Le Monde de samedi a consacré au grand écrivain hongrois Imre Kertész, prix Nobel de littérature, mort à Budapest le 31 mars, la journaliste choisit néanmoins la deuxième option pour expliquer ses "remarques déconcertantes sur l’Europe et sur l’islam" tenues dans son dernier roman (L’ultime auberge, Actes Sud). Qu'écrit Kertész, un des derniers survivants d’Auschwitz? Ceci (page 173) : "L’Europe périra bientôt à cause de son libéralisme puéril et suicidaire. L’Europe a créé Hitler, et après Hitler, elle s’est trouvée à court d’arguments : les portes se sont ouvertes devant l’islam, plus personne n’ose parler de race et ou de religion, alors que l’islam ne semble plus connaître que le langage de la haine envers les autres races et religions". J’ai d’ailleurs repris cette phrase dans La guerre civile qui vient (page 177), pour expliquer pourquoi je ne partageais pas ce pessimisme. Mais le prix Nobel va plus loin. Il écrit aussi (page 176) : "Il faudrait que je dise deux ou trois choses sur la politique (…). Je dirais comment les musulmans envahissent l’Europe, se l’accaparent, bref la détruisent ; quelle est l’attitude de l’Europe face à cela ; je parlerais aussi du libéralisme suicidaire et de la stupide démocratie ; démocratie et droit de vote aux chimpanzés. Cela finit toujours de la même façon : la civilisation atteint un stade de maturité dépassée où elle n’est plus capable de se défendre, et ne le veut même plus ; où, d’une manière apparemment incompréhensible, elle adore ses propres ennemis". Et encore (page 227) : "Un monde meurtrier est en train de naître, le nationalisme, le racisme ; l’Europe commence à comprendre où l’a menée sa politique libérale d’immigration. Elle s’est rendue compte que la chose nommée société multiculturelle n’existe pas". Ce Kertész-là, jamais aussi libre, n’a pas l’heur de plaire à la pensée policée qui croit voir les effets du "grand âge", comme le suggère si peu élégamment Le Monde. L’esprit totalitaire, prêt à voir un cas psychiatrique chez le contradicteur, n’est jamais loin de ces procédés qui fleurissent…
Bossuet (1627 – 1704)
« Islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. »
Chateaubriand (1768 – 1848)
« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »
Condorcet (1743 – 1794)
« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, […] Semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire. »
Arthur Schopenhauer (1788 – 1860)
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1 200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. […] Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »
Alexis de Tocqueville (1805 – 1859)
« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. […] J’ai beaucoup étudié le Coran […] Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman […] je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. »
Alfred de Vigny (1797 – 1863)
« Si l’on préfère la vie à la mort, on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s'ils ne changent de culte. »
Mgr Louis Pavy, évêque d’Alger (1805 – 1866)
« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créance, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu. »
Joseph Ernest Renan (1823 – 1892)
« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. »
Winston Churchill (1874-1965)
« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles […] Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. […] Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »
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