Ne vous laissez pas impressionner par l’expression « Etat de droit » qu’on agite comme un fétiche. L’Etat de droit n’est qu’un instrument pour éviter que le peuple souverain soit opprimé par l’Etat.
Si, par une utilisation habile de l’Etat de droit, certains, comme les musulmans, en font un instrument d’oppression du peuple français, il faut le remettre en cause, changer le droit. Par exemple, sortir de la convention qui nous lie à Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Au fond, le droit, on s’en fout, ce n’est qu’un instrument social. La Justice, c’est autre chose que l'application du droit.
Et puis, derrière tout cela, il y a la question : qui bénéficie de la protection du droit ? Les habitants de la France ? Les citoyens français ? Et qu'est-ce qu'être français ?
Car, évidemment, toutes ces polémiques n'existeraient pas s'il n'y avait pas en France une forte population étrangère n'ayant aucune envie de s'intégrer, bien au contraire, et dont une partie a des papiers d'identité français.
La mère de toutes les réformes, c'est la fermeture de l'accession à la nationalité française et, accessoirement, l'arrêt de l'immigration musulmane, façon Japon.
Burkini au Conseil d'Etat : « Le peuple est trahi par ceux qui rendent la justice en son nom ».
Burkini : et si le Conseil d’Etat avait tort ?
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