Stefan Zweig ou la tragédie d'être un citoyen du monde
Stefan Zweig n'est pas mon auteur préféré, mais Le monde d'hier est émouvant. C'est son dernier livre avant son suicide, cela lui donne une résonance particulière : pas besoin de se triturer le cerveau pour comprendre la relation entre la perte de ce monde d'hier et son suicide.
La nostalgie de ce monde de 1914 m'habite aussi : une Europe entreprenante, riche, stable et fière. Et plus que tout, terre de liberté.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire