Vladimir Poutine est le gagnant de l’année 2016.
Mais ses succès sont de court terme : ni l’économie ni la démographie ne sont en pleine forme et les perspectives ne sont folichonnes.
Quant à la diplomatie et à la politique étrangère, il va falloir transformer les coups de 2016 en succès durables et, vu le merdier qu’est l’Orient compliqué, je lui souhaite bien du courage. C'est toujours mieux que la diplomatie française, qui ne sait pas où elle est et ignore où elle va.
Aux royaume des aveugles ...
C'est pour relativiser le tapage autour de Poutine.
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