Dalrymple raconte que deux chauffeurs de taxi africains qui, pour lui, « sont les canaris dans la mine de nos sociétés » retournaient dans leurs pays natals, parce qu'ils y étaient plus libres qu'en France (moins de libertés politiques, mais plus de toutes les autres).
J'ai déjà entendu la même réflexion de gens vivant en Chine.
Rule reversal
Pour compléter, plus précisément :
Anne-Marie Le Pourhiet : « Nous vivons dans une société bâillonnée où s’exerce la tyrannie des minorités »
C'est terrifiant. Mais, hélas, il suffit de regarder notre vie quotidienne pour savoir que c'est vrai.
Et puis, il y a ça : TVR fait enfin son retour avec la Griffith.
Les Anglo-Saxons sont les derniers à avoir un petit grain de folie, libre :
J'aime beaucoup cette phrase, très anglaise : « Freedom is freedom, and not another thing ».
La liberté, c'est la liberté, et pas quelque chose d'autre. Pas la richesse, pas les aides sociales, pas la licence, pas le festivisme, pas le « débat » encadré et surveillé, pas l'écologie ...
samedi, septembre 09, 2017
Liberté chérie (vive l'Angleterre)
Libellés :
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