Emmanuel Macron a fait une de ses déclarations dont il a le secret, qui font bander les bourgeois centristes, tout à leur haine de classe, qui ne comprennent rien à rien et ne veulent surtout rien comprendre. Paraît-il que les aides sociales couteraient un « pognon dingue ».
Sauf que séparer les « aides sociales » de l'immigration et de la mondialisation est totalement artificiel.
Car les « aides sociales » sont à la fois une pompe à immigrés et le baume sur les douleurs de la mondialisation.
Mais, justement, le grand tabou de Macron est là : il est indifférent à la France et aux Français. Pour lui ce sont des vestiges du passé et le passé, c'est mal. La mondialisation et l'immigrationnisme, c'est l'avenir, donc c'est bien. Fondamentalement, Macron est un président de la république qui ne croit pas à la France mais à l'Europe, l'Europe, l'Europe.
Or, il se trouve (Christophe Guilluy et compagnie) que les Français d'en bas sont de plus en plus hostiles aux aides sociales car ils trouvent qu'elles profitent trop aux immigrés.
Mais ce n'est pas du tout comme cela que l'entend Macron, il est hostile aux aides sociales parce qu'il trouve qu'elles profitent trop aux Français d'en bas (c'est la seule interprétation possible si l'on considère l'ensemble de son oeuvre).
Bref, c'est du Macron habituel : au premier degré, il fait plaisir aux imbéciles. Mais, au second degré, c'est l'anti-France pur jus. Et les cons centristes bourgeois tombent dans le panneau parce qu'ils sont aussi, hypocritement, à leur manière centriste, l'anti-France.
jeudi, juin 14, 2018
Qu'est-ce qui coûte un pognon dingue ? L'immigration.
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