mercredi, avril 17, 2019

Incendie de Notre Dame : l'hypothèse criminelle

Nous savons que les services officiels, en qui je n'ai aucune confiance (ou plutôt si : j'ai une grande confiance dans leur capacité à mentir et à aller dans un sens qui arrange le pouvoir. Faire l'historique de la perte de confiance dans la police et dans la justice est une autre histoire) ne trouveront pas ce qu'ils font bien attention de ne pas chercher.

Mais les Français ont conscience que l'hypothèse criminelle ne peut être aisément écartée. Comme dit notre commentateur P. Jaunet, un barbu, c'est un barbu. Trois barbus, c'est des barbouzes. Après Lavaur, Saint Sulpice et Saint Denis (et bien d'autres), l'hypothèse criminelle est au minimum à égalité avec l'hypothèse accidentelle.

Maintenant, est-ce que je peux m'avancer plus ? Non. Les incendies accidentels de vieilles charpentes, ça arrive aussi.

Nous n'aurons probablement aucune certitude (sauf revendication) mais une hypothèse la plus vraisemblable cernée de questions, comme pour l'assassinat de Kennedy. Si je suis plus que sceptique concernant les services officiels, nous finirons cependant par avoir beaucoup d'éléments disponibles, peut-être trop, il s'agira ensuite pour chacun de faire le tri, et ce n'est pas gagné (voir Marion Cotillard et le 11 septembre).

En ces affaires, j'utilise volontiers le rasoir d'Ockham : je me raccroche à l'hypothèse la moins alambiquée. C'est pourquoi, par exemple, je crois à un Oswald solitaire (mais manipulé) ou à la thèse officielle pour le 11 septembre.





De la signification de l'événement :
















Addendum : l’orentation des médias dans le sens exclusif de la thèse de l’accident est ridicule. Tout le monde pense à la thèse du sacrilège volontaire, la taire ne fait que renforcer le complotisme.

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