jeudi, juin 20, 2019

L'imposture islamique et la mollesse catholique

The Islamic Curtain, and Ours

Comme ce prêtre italien, je pense que l'islam est le pire canular joué à l'humanité depuis 1 400 ans.

Je m'en tiens (et je n'ai aucune raison de faire autrement) à la position classique de l'Eglise, celle de Saint Thomas d'Aquin : l'islam est le religion de l'anti-Christ, fausse, cruelle, violente,  spirituellement et intellectuellement très pauvre, qui rend impossible la relation d'amour de Dieu et de sa créature qui est au coeur de la foi dans le Christ. Notamment, l'islam contrevient à la règle d'or « Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ».

Je suis donc peiné quand un homme a des complaisance pour l'islam. Je suis doublement peiné quand cet homme se dit chrétien. Je suis infiniment peiné quand cet homme est un prêtre, qu'il soit pape ou pseudo-martyr (1).

Les conneries à sens unique, genre prières en commun dans les églises (a-t-on déjà vu un curé prier dans une mosquée à l'invitation de l'imam ?), qui sont vus (à juste raison) par les musulmans comme un aveu de faiblesse, ça commence à me péter les rouleaux.

Mais je sais bien ce que beaucoup de prétendus chrétiens ont le tempérament plus religieux que vraiment chrétien. L'essentiel pour eux, c'est d'avoir une religion, n'importe laquelle, celle du Christ aujourd'hui et -pourquoi pas ?- celle de Mahomet demain. Et je crois que beaucoup de prêtres sont dans ce cas. Ils sont curés, ils auraient pu être imams et, le jour approprié, peut-être le deviendront-ils.

Cette fragilité des convictions est facilitée par la faiblesse et l'incertitude du magistère.

Il y a déjà un précédent historique : le Maghreb de Saint Augustin a peu résisté aux cavaliers arabes parce qu'il était fragilisé par les querelles entre chrétiens.


Et pendant qu'on y est, sur un sujet connexe (puisqu'il s'agit toujours de la pulsion suicidaire de l'occident) :

A propos de la représentation des « Suppliantes » à la Sorbonne : l’hypocrisie des élites


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(1) : je n'écris pas « pseudo » par mépris mais par goût de la vérité. Quoi qu'en dise Rome, on n'a aucune preuve que Christian de Chergé est mort en martyr. La thèse de la bavure de l'armée algérienne n'a jamais été démentie.

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