C’est du bon sens : il est impossible qu'une espèce pensante et consciente comme l'espèce humaine (il est vrai que certains de nos contemporains pensent de moins en moins) ait pu se perpétuer malgré l'oppression d'un sexe sur l'autre.
Le féminisme est l’expression d’une psychose hystérique (la prépondérance dans ce militantisme des lesbiennes n’est plus à démontrer. C'est quand même étrange que se donnent comme mission de réformer les relations hommes-femmes celles qui les connaissent le moins, et encore plus étrange qu'on les laisse faire sans éclater de rire devant le ridicule de cette prétention).
Il est vrai que la faute provient en grande partie des hommes : ils débandent face à cette adversité.
L’anecdote est bien connue de Simone de Beauvoir qui baisse son féminisme d’un ton quand elle remplace son avorton de Sartre par un vrai mâle.
Chesterton, avec son alacrité habituelle, jugeait que le féminisme est l'ambition idiote de certaines femmes d'être jugées suivant les critères masculins.
Le problème de quitter le bon sens et d’invoquer une domination masculine qui n’existe pas, surtout sous nos latitudes, c’est qu’on fabrique des aigries et des frustrés.
Mais peut-être est-ce le but réel ? L’aigreur et la frustration sont d’excellents moyens de contrôle de la population.
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