Voici ce qu'en dit la victime. C'est autrement impressionnant et intelligent que le mauvais cinéma (c'est leur spécialité, le mauvais cinéma. Netflix a de belles perspectives) de la vertu outragée des connasses des Césars.
Samantha Geimer: «Personne n'est en droit de dire à une victime ce qu'elle doit pense »
Temps de lecture : 10 min
Peggy Sastre — 28 février 2020 à 8h45 — mis à jour le 28 février 2020 à 9h38
Alors que l'«affaire Polanski» resurgit à l'occasion de la cérémonie des César, Samantha Geimer, violée par le réalisateur en 1977, s'élève contre l'emballement médiatique autour de son histoire
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