dimanche, décembre 23, 2007

L'Islam est-il un obstacle à la prospérité économique ?

Voilà un débat fort passionné où l'on se fait facilement traiter d'islamophobe. Le mériterai-je si je me contente de constater que les pays islamiques ne brillent pas par leur prospérité (même en tenant compte de l'argent du pétrole) ?

D'autres ont des positions plus tranchées.

3 commentaires:

  1. Mouais (dubitatif). Le Chevallier sur l'Iran est un peu simpliste. Ce n'est l'Islam qui a fait tomber le Shah, c'est lui-même. Tout libéral cohérent devrait admettre qu'il n'y a pas de liberté économique sans liberté politique et vice-versa. Sur l'Iran lire le trés bouquin de Chauvel. Je persiste à dire que la vieille tradition de commerce des Iraniens et une forme de libéralisme (relatif à cette région du monde), un sens inné du rapport de force suite aux occupations, russes, anglaises, américaines, bref que tout ca et d'autres choses font que je pense que la bombe iranienne à venir est moins dangereuse que celle des Pakito. (propos déjà tenu par moi en commentaire de ce blog)

    RépondreSupprimer
  2. C'est effectivement la question que l'on peut se poser : pourquoi les nations de l'islam n'ont-elles pas été capables de se développer comme les nations européennes? Pourquoi aucune de ces nations n'est-elle un état démocratique? Pourquoi tant de haine envers la gente féminine? Pourquoi une telle volonté d'expansion?
    Pour répondre à M. Robes-roule : il y aurait tout à craindre d'un Iran avec la bombe en l'état actuel ; peut-être que le terme de prolifération ne vous dit rien... mais les Iranniens ont signé un traité à ce sujet, me semble-t-il...
    J'ajouterais que les propos haineux de l'actuel président sont une raison supplémentaire de tout faire pour les en empêcher : il y a des technologies qui ne sont pas bonnes à mettre entre toutes les mains!
    Evitons l'angélisme, de grâce!! Tout ceci a un goût prononcé de "1938"...

    RépondreSupprimer
  3. A ce propos, je conseille vivement la lecture du dernier ouvrage de M. Rioufol, la fracture identitaire.
    Quelle triste fin pour la "Grande Nation"...

    RépondreSupprimer