Deux morts dans une fusillade à Saint-Ouen. Nulle part on ne voit leurs noms, procédé peu habituel. Oubli ou «pédagogie anti-raciste» des journalistes-propagandistes occultant les informations qui dérangent leur idéologie ?
Un indice : une vidéo du Parisien sur la «douleur des familles» (dont on se contrefout : si ton fils n'avait pas trafiqué de la drogue, il ne se serait pas pris une balle. Pleurer sur les familles des voyous ? J'ai d'autres priorités) laisse à penser qu'il est peu probable qu'ils s'appellent Dupont ou Martin.
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Procédé peu habituel ?? C'est au contraire trè habituel non ? Mais maintenant, on sait bien que quand on ne donne pas les noms...
RépondreSupprimerNon, c'est un procédé inhabituel : quand Germaine Tartempion est en cause, on n'hésite pas à donner son nom.
RépondreSupprimerBien sûr, le fait de ne pas donner de noms indique qu'ils viennent d'Afrique, encore faut-il se poser la question.
C'est bien ce que je voulais dire...
RépondreSupprimerGil : bien que mon contrat de porte-parole de Franck soit encore en cours de négo entre nos avocats respectifs, je peux vous dire ceci :
RépondreSupprimerQuand Zyed-et-Bouna mettent les doigts dans la prise et qu'on peut mettre ça sur le dos de la police, les noms de Zyed-et-Bouna sont partout.
Quand Mamadou livre des pizzas (sur une moto volée, sans casque, en faisant des roues arrière, et en refusant de s'arrêter sur l'interpellation de la police), puis qu'il se trompe d'adresse et livre ses pizzas dans une rembarde métallique qui a le racisme de ne pas aimer la pizza, le nom de Mamadou est partout. Puisque c'est la faute de la police.
Quand -- biiip -- casse la gueule à Martin Dupont, bien qu'il soit "aussi français que lui", le nom de -- biiip -- n'est nulle part dans les médias. Sauf s'il s'appelle Prénom-Modifié.
Il paraît que Prénom-Modifié est l'un des premiers prénoms donné en France. Juste avant ou juste après Mohammed, on n'est pas sûr.
En revanche, si Martin Dupont casse la gueule à Mohammed, son nom est dans la seconde sur oumma.com.
Eh oui, ça va devenir compliqué, la vie en pays multiculturel. Il faut connaître le codes.
Sinon, pendant la "manif anti-violence", il y a eu une "prière", selon les médias. Lesquels ont malencontreusement omis de nous préciser si c'était selon le rite romain ordinaire, ou plutôt celui de la fraternité Saint-Pie X.
Et puis les médias ont beaucoup parlé de "la douleur des familles" (douleur des familles = expression codée pour dire c'est la faute de la police, c'est la faute de ces racistes de Français).
Vous souvenez-vous du dernier règlement de comptes entre truands corses après lequel la presse a tartiné sur "la douleur des familles" ? Pas moi. Ca aurait semblé indécent. Aux Français honnêtes comme aux "familles", d'ailleurs.
Mais là, tout ce qui est bon pour culpabiliser le Francaoui, c'est bon à prendre. D'ailleurs, c'est bien ce qu'on nous a dit au cours de cette manif. S'il y a eu des morts, c'est, cette fois-ci, parce que la police n'était pas là.
Bref, que la police vienne ou ne vienne pas, c'est toujours sa faute. Et donc la nôtre. On avait bien compris.