J'ai trouvé cette phrase dans Le Monde : «Martine Aubry propose à la maire de Montpellier de mener une liste contre Georges Frêche».
Ce barbarisme, «la maire», je trouve cela d'un disgracieux à vomir. Une telle manière de s'exprimer suffit à juger ceux qui l'emploient, inutile d'aller plus loin et d'essayer de comprendre ce qu'ils écrivent.
Vous direz que je deviens de plus en plus acariâtre, mais je n'ai plus envie de m'emmerder à subir le charabia des cons.
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Estimez-vous heureux, Franck, nos cousins québécois disent « mairesse ». Ce qui est un anglicisme d'ailleurs (mayoress).
RépondreSupprimerEn bon français, la mairesse, c'est la femme du maire.
RépondreSupprimerPour le reste, Franck, je suis totalement d'accord avec toi : c'est de plus en plus fatiguant de subir tous ces barbarismes. Et tant pis si je passe pour un vieux c... mais je n'arrête pas de m'insurger contre ça...
Peut-être voulait-elle simplement dire "l'amère de Montepellier" ?
RépondreSupprimerLa maire c'est très bien. Mais alors il faut aussi écrire le vigie , le sentinelle, et l'estafet.
RépondreSupprimerIl y en a sûrement d'autres, mais ils ne me viennent pas à l'esprit pour le moment.
Mais ... La maire de Montpellier, n'est-elle pas la maire de Frèche ?
RépondreSupprimer:-)
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