dimanche, octobre 14, 2012

Le socialisme comme maladie mentale

Tout est déjà dit sur la psychologie du socialisme par Gustave Le Bon.

Mais amusons nous tout de même. Les socialistes adorent psychiatriser leurs adversaires : critiquer le socialisme, c'est une preuve de folie.

Retournons l'argument pour le plaisir de jouer.

Un président socialiste déclare, alors qu'il n'est que candidat : "C'est vrai, je l'avoue, je n'aime pas les riches". Or, il se trouve que ce monsieur se classe parmi les riches selon sa propre définition. Cela ne relève-t-il pas un petit peu de la psychiatrie ?

Mais peut-être est-ce une exception ?

Hé bien non, regardez le parcours des socialistes, les Fabius, les Strauss-Kahn, ce sont tous des grands bourgeois. Je regarde autour de moi : à quelques exceptions près, les socialistes que je connais sont tous des dégueulasses qui s'achètent une conscience vis-à-vis de leurs dégueulasseries en votant socialiste, manière de se débarrasser de leurs devoirs vis-à-vis de leurs compatriotes en payant des impôts.

Ils donnent des leçons à la terre entière, mais quand il s'agit non plus de parler mais d'agir, alors là, c'est les grandes vacheries, la saloperie par bidon de 50 litres.

Ce n'est peut-être pas une maladie mentale, c'est au moins un comportement peu digne d'être cité en exemple aux enfants.


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