À la guerre, il arrive souvent que l'ennemi, ce tordu vicieux, ne fasse pas ce qu'on a prévu.
Ce manque de savoir-vivre typique de l'ennemi a déjà joué des tours à la France en 1914, 1940, 1954 et j'en passe.
Bref, quand on commence une guerre, on ne sait jamais comment ça va tourner. C'est idiot, j'ai quelquefois l'impression que cette sagesse élémentaire échappe à nos gouvernants.
Cela ne signifie pas qu'il ne faut jamais faire la guerre, mais qu'il faut être sévèrement burné pour en assumer les mauvaises surprises. Et vu que ce gouvernement, comme ces prédécesseurs récents, n'a qu'une demi-couille rabougrie et flasque à partager entre eux tous, j'augure mal de l'avenir.
En attendant, on ne peut que penser aux otages et aux soldats et espérer qu'ils s'en sortent.
mercredi, janvier 16, 2013
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