Un attaché parlementaire socialiste, Jean Bourdeau, insulte Marion Maréchal, député :
Conne, salope
J'approuve la réaction de Maxime Tandonnet.
J'ajoute trois remarques :
> le deux poids, deux mesures de la gauche est insupportable. Pas la peine que je vous décrive les cris et hurlements qui auraient accueilli de tels insultes envers une femme député de gauche. Dans un billet récent, j'expliquais que «Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse» est le fondement de l'éthique et de la vie en société. La gauche confirme une fois de plus qu'elle est nihiliste et antisociale. Et aussi qu'elle souffre d'un complexe de supériorité : je peux insulter qui je veux car je suis au-dessus de vous, je connais le Bien et le Mal.
A quelque chose malheur est bon : il est maintenant de plus en plus manifeste que les gauchos ont les nerfs qui lachent. On ne peut que s'en réjouir.
> je comprends que tel ou tel adversaire politique puisse vouloir dire pis que pendre de Mlle Maréchal. Mais, dans ce cas, n'y a-t-il pas plus intelligent que des insultes de caniveau sans esprit ? L'excuse de l'humour est est lamentable : il n'y a, justement, aucun humour dans ces grossièretés.
> ces insultes sont particulièrement mal venues vis-à-vis d'une jeune femme qui montre plus de dignité et de tenue que beaucoup de femmes en politique (et d'hommes). Je l'imagine assez mal venant au conseil des ministres en jean ou en crocs roses. J'ai été agréablement surpris par son intervention à la tribune de l'assemblée à propos de la loi de dénaturation du mariage, je ne suis pas sûr qu'à vingt-trois ans j'en aurais été capable.
La galanterie et la finesse étaient des qualités françaises, voici que la goujaterie et la grossièreté socialistes les remplacent. Et cela fend le coeur.
Cependant, je pense que les Français de tous bords (je peux me tromper) jugent sévèrement cette attaque déplacée contre une jeune femme qui pourrait être leur petite amie, leur copine, leur fille ou leur petite-fille.
Il n'y a pas si longtemps, il se serait trouvé un galant homme pour provoquer en duel l'insulteur et cela aurait eu de la gueule.
Je regrette de ne pas pouvoir le faire, quoiqu'un duel au pistolet soit dans mes moyens. A y réfléchir, si Jean Bourdeau me lit, je suis à sa disposition. Je n'aurai aucune peine à trouver deux témoins, les volontaires vont se bousculer.
Mais je n'y crois guère : un gauchiste, ça ne se bat pas en duel, ça hurle avec la meute. Tout le monde n'est pas Gaston Deferre.
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