Revive Clear Thinking and the Jihad Dies
J'aime bien Raymond Ibrahim, il est clair et net en même temps que fort bien informé.
Je résume son article :
L'islam est faible, le terrorisme est l'arme des faibles. Il était fort du temps de Poitiers, de Manzikert, de Mohacs, il ne l'est plus.
L'islam n'est fort que de nos faiblesses.
Les traitres islamophiles, les Obama, Hollande, Merkel et compagnie, qui sont élus, et quelquefois ré-rélus, ne sont que des symptômes d'un mal plus profond qui loge dans nos têtes.
Ce mal a trois composantes :
♘ le multiculturalisme, la croyance absurde qu'en mélangeant des populations de cultures, de races et religions différentes, on obtient l'harmonie. Non, on obtient la guerre civile.
♘ le relativisme, l'idée folle que toutes les religions, toutes les cultures, toutes les coutumes se valent. Et nous sort toujours l'argument éculé de l'Inquisition. Hé bien, parlons en, de l'Inquisition, comparons là avec le djihad en durée, en étendue et en intensité, et surtout, surtout, en compatibilité avec la religion dont elle se réclame.
♘ le masochisme. Tout le mal viendrait de l'occident, alors que c'est exactement le contraire : la science, la médecine, une bonne partie de la philosophie sont occidentales. L'Espagne publie à elle seule plus de livres que tout le monde musulman. Contrairement à certaines légendes, nous ne devons pas grand'chose de bien, pour ne pas dire rien, au monde musulman, dont l'obscurantisme et l'arriération sont les traits dominants.
Ibrahim conclue d'une façon limpide : célébrer le multiculturalisme et battre le djihad sont incompatibles.
Si une révolution avait lieu chez nous, le djihad serait renvoyé instantanément aux poubelles de l'histoire.
Cette vérité demeure : le djihad terrorise le monde non pas parce qu'il en les moyens mais parce l'occident laisse faire.
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