mardi, janvier 31, 2017

Avec des ennemis comme ça, Trump n’a pas besoin d’amis

Les politiquement corrects sont déchainés contre Trump et j’ai bien l’impression qu’ils sont en train de se faire avoir.

En effet :

1) La mesure anti-immigration de Trump a peu de conséquences pratiques. Peu de pays (et faibles, en plus) et peu de personnes sont concernés, et seulement pour 90 jours. Donc, dans le domaine du réel, que les opposants ignorent totalement (c’est leur grand tort), Trump ne risque pas grand’chose.

2) Dans le domaine symbolique, Trump va prouver que les belles âmes narcissiques s’excitent pour rien, sont impuissantes, sont des grandes gueules et … c’est tout. Alors que lui peut poser au président « qui fait ce qu’il a promis ». Belle victoire symbolique.

On comprend mieux pourquoi il n’a pas inclus le Qatar ou l’Arabie Saoudite : les vrais problèmes pratiques que cela aurait posé pouvaient empêcher la victoire symbolique.

Regardez les dessins que les anti-Trump ont postés. Ils voudraient nous dire qu’ils sont pour le voilage des femmes qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Et puis, que nous disent-ils d’autre à ne présenter que des femmes, jamais d’hommes ? Qu’ils sont des femmelettes, des pleurnicheuses, des impuissants.





J'aurais préféré ça :




La question posée par Donald Trump à travers cette mesure est claire pour tous, amis comme ennemis :

Un pays occidental a-t-il le droit de se défendre de l'islamisation ?

Les femmes voilées du drapeau américain répondent : non.  La classe jacassante européenne répond : non. Mais ce n'est pas le dernier mot de l'histoire.

Et je crois bien que c'est Trump qui va l'avoir, ce dernier mot.



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